Certains se demandent peut-être en téléchargeant quelques-uns de mes exercices, pourquoi utiliser des phrases parfois bizarroïdes telles que « Avez-vous mangé du poulet, hier ? » ou « Y a-t-il un crayon sur la table ? ». La plupart du temps ce ne sont pas des phrases complètement au hasard.
Premièrement, elles répondent à un besoin de certains apprenants à former des phrases correctes à l’oral, avant parfois de le faire à l’écrit, avec des petites phrases sur des thèmes simples de la vie quotidienne. L’ordre des mots dans la phrase (et même les éléments composant la phrase) est parfois difficile à acquérir.
Deuxièmement, elles sont sous forme de questions, souvent fermées, parfois ouvertes. En effet, cela permet de favoriser les exercices oraux (et ainsi faire parler les apprenants plus que le maitre ! ) et d’éviter les « blancs » de certains élèves dès qu’il faut composer soi-même tous les éléments de la phrase.
Il va sans dire que ce type d’exercice sert spécifiquement à enseigner la grammaire et la structure de la phrase. Il est indispensable d’exercer à un autre moment l’expression orale proprement dite, à l’aide de tâches, de situations de communication, etc.
Pour l’enseignement et l’apprentissage des pronoms compléments, je recommande vivement « En avant la grammaire – niveau intermédiaire » qui permet d’entrer dans le sujet en douceur, avec des thèmes intéressants pour bien comprendre et utiliser chaque pronom complément individuellement. Le manuel de niveau avancé propose aussi des listes de verbes directs et indirects tout à fait bien choisis.
La plupart des exercices ci-dessous servent à entrainer l’utilisation de pronoms compléments mélangés, choisir le bon et à la fois construire des phrases correctes.
Le pronom Y et le pronom EN
Exercice pour former des phrases correctes avec « Y » :
Une via de celles qu’on n’apprend pas tout de suite qu’elles existent… Elle est cachée, elle est secrète, elle est petite.
D’abord, le parking est caché jusqu’au bout : dans le GPS, c’est PONT-DE-NANT qu’il faut entrer. La route sillonne la forêt encore et encore. On n’est pas sûrs d’être au bon endroit et tout d’un coup, au détour d’un virage bien pentu, la forêt disparait et l’auberge du Pont-de-Nant apparait. Le parking est en face.
C’est depuis le haut du parking que commence la marche d’approche. Comme le disent les autres sites de via ferrata, cela dure environ deux kilomètres (pendant lesquels on n’est toujours pas sûrs d’être au bon endroit). Graviers, ruisseaux, planches, petit pont, forêt. Si tu as atteint la forêt, tu y es presque ! Arrivé à l’arbre bizarre, c’est à droite. Voilà. (Suivre les photos dans l’ordre).
La via ferrata est assez courte et plutôt « normale », des échelons verticaux pour la plupart. Un bon essai pour ceux qui veulent savoir ce que c’est sans avoir trop de temps. Le retour n’est pas long. Beau paysage à la sortie, belle vue sur une énorme montagne qui me semble être… le grand Muveran ?
Comme nous sommes restés un peu sur notre faim (qu’est-ce qu’on va faire ici tout le reste de la journée ?!) on a contourné la rivière par le chemin ouvert dans le glacier qui mène à une cabane et redescendu au parking de ce côté-là. Sympa. Et toujours trop court. M’enfin… C’était très joli.
Voilà ce qui se passe quand on en a un peu marre de dormir avec des vieux pyjamas délavés, troués, ou dont l’élastique ne serre plus. Je voulais un joli pyjama d’été et j’ai été très contente de celui que j’ai fait avec les patrons du pyjama Alice (marque Mouna Sew).
Le pyjama Alice est composé d’un short et d’un t-shirt. Le joli truc, c’est que les manches du t-shirt et le bas du short ont des bords festonnés, c’est-à-dire comme décorés. Ils ne sont pas juste ourlés droit. C’est pour cela que j’ai choisi ce pyjama, quand je suis tombée par hasard sur la vidéo de sa confection.
,Au début je me suis dit bon allez, y a pas besoin du patron je vais le faire moi-même… mais finalement je n’en connais pas assez pour modéliser certaines parties « compliquées » comme les morceaux pour la ceinture froufroutée et les morceaux pour les festons. Donc… j’ai acheté le patron ! Pour de vrai. Environ dix euros. À imprimer soi-même etc. Et je n’ai pas été déçue.
Alors de manière générale, c’est très bien expliqué avec des détails, des étapes et dessins bien faits. Les vidéos des deux pièces donnent parfois plus de détails techniques pour certaines parties. De plus, elles sont succinctes et pas excessivement longues à regarder.
Pour la choisir la taille du patron avant le découpage j’y ai superposé des vêtements à moi pour vérifier.J’ai commencé par le short. Et c’est ce qu’il fallait faire, car la vidéo du short vient avant celle du t-shirt et explique des choses qu’il faut savoir après pour faire le t-shirt. Les étapes sont très bien expliquées à la fois dans le livret et dans la vidéo. La ceinture froufroutée et son élastique sont peut-être l’étape la plus « difficile », mais si on suit les étapes ça parait tout à fait simple. Coudre les bords festonnés est une partie où il faut, disons, se concentrer et vérifier que c’est dans le bon sens, à la fois le tissu, le pochoir, le dessin final, etc… Mais on se concentre, parce qu’on veut de jolies finitions.
Globalement, je dirais que le t-shirt parait plus facile, mais il nécessite une aiguille double (que j’ai achetée parce que : uno pour faire les choses bien et secundo elle semble très pratique pour plein de choses). De plus, cela nécessite de savoir utiliser l’aiguille-double, mais la vidéo contient le lien qui explique très bien ça.
Les festons ne sont peut-être pas évidents pour tout le monde, mais on peut sauter cette étape si on n’est pas assez courageux (mais allez on le fait, c’est joli).
Au cas où quelqu’un voudrait se lancer et n’est pas sûr d’y arriver, je précise ici les choses de débutant que Mouna n’explique pas dans la vidéo mais qui sont nécessaires pour la confection de ces deux pièces de vêtement :
le surfilage et des détails sur les points de couture utilisés
les points d’arrêts
les bases du positionnement des patrons sur le tissu et la découpe (certaines pièces doivent logiquement être une fois à l’envers et une fois à l’endroit quand il en faut deux)
coudre une boutonnière
les points cachés facultatifs pour garder les bords festonnés bien en place et pour aplatir aussi la couture du milieu du short
Voilà, en conclusion je dirais que ces vidéos et patrons permettent de confectionner très facilement des vêtements vraiment comme des vrais, avec des finitions très pro. Donc, UP !
De retour avec ces quelques petits exercices sur le grand thème des adverbes dont la théorie est bien sûr à découvrir et expliquer en classe au préalable.
Adverbes de manière, exercice oral par deux pour comprendre à quoi ça sert (découper la feuille en deux et en donner une moitié à chacun) :
Différencier BON / BIEN, MAUVAIS /MAL, TRES/ BEAUCOUP, exercice oral à faire par deux (chaque élève a les réponses des questions l’autre élève sur sa feuille) :
Petit Monsieur veut du Adadas. Et du Pouma. Et du Nick.
Mais il n’arrête pas de grandir évidemment alors je ne vais pas acheter des vêtements si chers.
Alors on fait comment ?
Il suffit de quelques astuces…
1. Le petit pull Adadas :
On prend un pull uni de couleur claire (gris clair, blanc, bleu clair, etc. ) et un papier transfert compatible avec votre imprimante. Ils ne se valent pas tous et n’ont pas tous le même prix non plus. Le meilleur et moins cher que j’aie trouvé est celui de la Migros, il s’appelle Transfert Tshirt.
Ensuite, il faut choisir le motif sur Internet et copier l’image dans un document Word (par exemple) ou l’imprimer directement. L’important est de l’imprimer avec l’option MIROIR car sinon ce sera à l’envers (et c’est très embêtant quand il y a des mots).
La dernière étape consiste à poser l’image face contre le tissu et de repasser au fer très chaud de l’autre côté pendant environ 30 secondes. Quand c’est froid, on enlève la protection.
2 . Le short Adadas
C’est un petit short normal uni sur lesquels sont cousues trois lignes blanches. J’ai pris des chutes de tissu que j’ai repliées sur elles-mêmes pour faire des rubans avant de coudre tout le tour de chaque ligne pour les fixer sur le short, mais on pourrait très bien le faire directement avec des rubans.
2. Une fois que tout est prêt, surjetez ou zigzaguez les deux grands rectangles sur tout le tour.
3. Découpez les pièces du patron que vous avez imprimé et chablonnez-les à l’envers sur l’envers du tissu uni.
4. Toujours sur l’envers de ce tissu, collez la partie brillante du thermocollant double-face, à l’aide du fer à repasser à puissance moyenne par dessus le papier de protection.
5. Quand cela a refroidi, vous pouvez découper les trois pièces et vérifier ce que cela donne à l’endroit. Disposez comme sur la photo suivante.
6. Enlevez le papier de protection et collez au fer à repasser. Attention, la deuxième partie collante (brillante) doit bien être contre le tissu (et non contre le fer à repasser), sinon aïe aïe aïe les dégâts.
7. Pour broder les contours de ces trois pièces, on utilise le point de BOURDON. Il s’agit d’un point zigzag qu’il faut régler très serré dans la longueur et très large dans la largeur.
8. Faites un essai sur une chute de tissu, puis brodez au point de bourdon les contours des pièces Adadas qui sont collées sur le tissu.
9. Pour la partie du sac qui se voit moins, on peut broder le prénom. Pour cela, mieux vaut le dessiner d’abord sur le tissu. Attention, il faut l’écrire de droite à gauche, en miroir, sur l’envers du tissu. Faites des essais sur du papier si vous n’êtes pas à l’aise.
10. J’ai utilisé le POINT DROIT TRIPLE pour le broder à la machine mais on peut imaginer de prendre d’autres points. On peut aussi le broder à la main, avec un point de piqure par exemple (que j’expliquerai un de ces quatre dans mon article sur la housse d’agenda).
11. Passons maintenant à l’assemblage du « gros bloc ». Mettez les grands rectangles l’un sur l’autre, endroit contre endroit. Epinglez le bas seulement.
12. Et on le coud, le bas. A 1 cm du bord, avec des marche-arrières au début et à la fin.
13. Avant de coudre les côtés, il faut y insérer les languettes et donc préparer les languettes. Plier les languettes dans la longueur pour que le bord inférieur atteigne presque le milieu. Repassez.
14. Repliez la partie supérieure par dessus et repassez.
15. Coudre avec un point de surjet par exemple.
16. Pliez chaque languette en deux et épinglez-les en bas du sac de manière à ce que la bonne partie de la languette se retrouve à l’intérieur du travail. On voit seulement les restes qui dépassent sur la photo. Cousez les deux côtés du sac à 1 cm en passant sur les languettes. Attention, en haut du sac on ne coud pas jusqu’en haut. Il faut s’arrêter à 8 cm du haut !
17. Afin de coudre le haut, repliez les bords qui restent vers l’extérieur et épinglez-les. Séparement bien sûr.
18. Cousez au point de surjet de gauche à droite du sac et de l’autre côté aussi.
19. Quand on retourne le sac, on voit les languettes unies en bas. le haut contient quatre trous dans lesquels on passera les « cordons ».
20. Faisons les cordons en tissu. J’espère que vous n’êtes pas pressé. Comme on l’a fait avant pour les languettes unies, on repasse les bandes en pliant le bas dans la longueur à environ un tiers. Puis, on replie le « haut » par dessus et on repasse encore.
21. On coud au point de surjet. Par économie de temps et de fil, on peut aussi coudre un zigzag.
22. Finissez les bouts joliment en les repliant un peu et en cousant également par dessus.
23. Pour enfiler les cordons dans le sac, on attache une épingle de sureté à un bout d’un cordon.
24. On introduit de droite à gauche dans la partie « devant » du sac, puis de gauche à droite dans la partie de « derrière ». Pour l’autre cordon, on fait entièrement le contraire: on introduit le cordon de gauche à droite dans la partie « derrière » du sac et ensuite de droite à gauche dans la partie « devant ». J’espère que c’est clair. N’oubliez pas de faire un nœud à chaque bout de cordon !
Avec une fermeture éclair, pour décourager les pickpockets… !
Les chutes de tissu de ce sac sont des bandes plus ou moins larges et plus ou moins longues. Il s’agit tout d’abord de créer un « nouveau tissu » en utilisant ces chutes, afin de pouvoir y découper les pièces nécessaires au sac.
La customisation est faite de restes de perles, fils, rubans, etc. Au gout de chacun.
Les sangles, je les achetées, mais on peut très bien utiliser plusieurs larges bandes de tissu et les coudre pour faire des sangles également.
Matériel :
papier très grand (blanc, kraft, soie…)
chutes de tissu en bandes
fils à coudre des couleurs des tissus
facultatif: deux morceaux de thermocollant de 48 cm sur 83 cm
2 sangles de 60 cm chacune
1 fermeture éclair de 46 cm
épingles ou pincettes
ciseaux
machine à coudre
aiguille à coudre
matériel pour customiser si souhaité
Réalisation:
Pour le patron, dessinez et découpez dans une grande feuille de n’importe quel papier un rectangle de 48 cm sur 83 cm.
Ensuite, on rassemble donc toutes les bandes de tissu disponibles, on les sélectionne et on les dispose de manière un grand rectangle d’environ 100 cm sur 50 cm après couture (!). Cela signifie qu’il faut compter avec le fait qu’après la couture, chaque morceau de chute aura perdu deux centimètres sur chacun de ses quatre côtés (excepté ceux placés au bord du « nouveau tissu »).
On coud d’abord les morceaux plus petits pour obtenir les bandes verticales si nécessaire.
4. Et ensuite seulement, on coud les bandes verticales entre elles. Endroit contre endroit et toujours à 1 cm du bord.
5. Puis on repasse toutes les coutures sur l’envers pour aplatir les surplus de couture de chaque côté. Voilà notre nouveau tissu !
6. Une fois vérifié que le tissu peut contenir deux fois la taille du patron en papier, épinglez le patron sur le tissu et découpez autour. Recommencez, pour obtenir deux pièces en tissu de la taille du patron. Pour aller plus vite, on peut aussi plier le tissu en deux, endroit contre endroit, épingler le patron en piquant dans les deux couches de tissu et découper tout autour.
Il faut penser à vérifier dans quelle sens on veut les rayures. Pour des rayures verticales, poser le patron comme sur la photo.
7. Pour avoir un sac renforcé, c’est à ce moment-là que vous pouvez coller le thermocollant, face brillante contre l’envers du tissu, au fer à repasser et selon les indications inscrites sur les bords du thermocollant ou l’emballage (en général, 8 secondes à puissance moyenne).
8. Ensuite, c’est là qu’on peut broder sur le morceau extérieur du sac avec des perles, des rubans etc. On peut aussi sauter cette étape et passer à la couture du sac.
J’ai choisi de poser la fermeture éclair à la fin et les sangles aussi, mais on pourrait très bien le faire avant de coudre les morceaux entre eux.
9. Pliez un rectangle en deux dans la largeur de façon à ce que les bons côtés se touchent. Epinglez les bords. Faites la même chose avec l’autre rectangle.
10. Coudre chaque côté à 1 cm avec des petites marche-arrières au début et à la fin.
11. Coudre au ras du bord au point zigzag ou surjet.
12. Coudre aussi la deuxième poche de sac qui servira pour la doublure. Ensuite, retourner une des deux poches seulement.
13. Pour les coudre ensemble endroit contre endroit, il faut d’abord glisser une poche dans l’autre, puis épingler les bords des poches ensemble.
14. Et hop, on coud de nouveau à 1 cm du bord. Attention : on ne coud pas tout le tour, on laisse 15 cm d’ouverture !
15. L’ouverture permet de retourner le sac comme ceci :
16. Maintenant, repassez bien les bords, en insistant sur les replis de l’ouverture laissée précédemment.
17. Passons à la fameuse fermeture éclair. D’abord, épinglez un bord du zip sous un bord intérieur du sac.
18. Pour le coudre, il ne faut pas oublier de régler l’aiguille tout à droite en utilisant les boutons et/ou utiliser un pied de biche spécial fermeture éclair pour ceux qui en ont un. Ensuite, on coud normalement avec une marche-arrière au début, en faisant attention à bien rester au bord de la fermeture éclair. Arrivé au milieu, passez la tirette vers l’arrière et continuez la couture.
19. Et on recommence de l’autre côté. Comme on pose la fermeture éclair seulement après, il est difficile de coudre le bout à la machine alors j’explique après comment on peut le faire à la main. Donc, on épingle le deuxième bord de la fermeture éclair sous le deuxième bord inférieur du sac.
20. On coud de la même manière ce côté-là depuis là où c’est possible :
21. À ce moment-là, le bout du zip qui est fermé n’est pas totalement cousu, c’est pourquoi je l’ai fini à la main. Pour cela, on prend une aiguille et du fil de la longueur d’un bras. On double (ou pas, mais c’est plus solide) et on fait un noeud au bout (en plus, comme ça le fil ne s’en va pas).
22. Pour le point caché, on pique l’aiguille dans le bord de la fermeture éclair comme sur la photo 1 et on ressort 2 millimètres plus loin environ.
23. On fait la même chose dans le tissu du sac, dans la même direction, comme sur la photo 2. Et de nouveau dans le tissu de la fermeture éclair et ainsi de suite (photos 3 et 4) jusqu’à effectuer tout le tour manquant.
24. On cache le fil à l’intérieur et on y fait un noeud !
25. Pour finir, il nous faut coudre les sangles. Repliez un morceau d’environ la largeur de la sangle et épingler le premier à l’endroit désiré sur le sac.
26. Pour épingler l’autre bout de la même sangle, il faut faire attention à ne pas emmêler la sangle sur elle-même et épingler comme sur la photo suivante :
27. Pour les coudre, j’ai pris une des couleurs de mon sac mais on peut aussi opter pour un fil de la couleur la sangle.
Cousez solidement, d’abord en carré, puis une diagonale, ensuite on repasse sur un des traits verticaux, puis l’autre diagonale et enfin repasser encore une fois sur l’autre trait vertical.
Et voilà, le sac perso fin prêt pour aller faire les commissions !
Du nom du torrent de Tière, au-dessus duquel est contruit la via ferrata. Ce n’est pas une longue via, mais elle est jolie et rafraichissante.
Il y a deux possibilités pour faire la via ferrata de Champéry. Soit on se parque en bas à Champéry, on marche jusqu’au bas de la falaise, on marche un peu en montée jusqu’au départ et on redescend par les Galeries Defago, la partie la plus longue du tour.
Tout est très bien indiqué.
Ou alors (ce que nous avons fait), on se parque au petit parking sur le haut de la falaise à la Route des Rives, puis on descend les Galeries Defago, qui valent le détour d’ailleurs, puis on arrive à un parc aventure que l’on traverse pour arriver à une place de pique-nique (du coup, nous avons pique-niqué) et enfin on arrive au bas de la falaise d’où justement il faut marcher encore un peu en montée pour arriver au départ de la via. C’est donc le même tour mais en commençant par en-haut.
Résultat : je pense que c’est moins fatigant de se parquer à Champéry et de faire la via ferrata d’abord.
La via commence par un petit pont en bois,puis on marche un petit bout en longeant la falaise jusqu’au départ de l’ascension véritable qui se situe sous une cascade fantastique à contempler. Puis on marche sur un pont sur la cascade et on reprend l’ascension. Il y a encore un deuxième pont à savourer et ça continue sur le rocher jusqu’en haut.