Exercices de questions et réponses (les apprenants se posent les questions à tour de rôle et y répondent en faisant une phrase complète, l’exercice peut être prolongé en écrivant ensuite les réponses sur la feuille):
Vous trouverez ici quelques exercices à télécharger sur les verbes au présent en français.
Il y a trois catégories: A1 simplifié, A1-A2, révision du présent au niveau B1. De plus, ils sont pour la plupart découpés par « modèle » de verbe (ou parfois plusieurs modèles à la fois).
2. Poser le triangle sur l’envers d’une chute de tissu et dessiner le contour. En tout, il faut dessiner 64 triangles pour ce modèle.
3. Découper les 64 triangles.
4. Disposer selon l’envie. Sur la photo suivante, il y en a la moitié, c’est-à-dire pour une face du coussin. Ici, on voit que cette face est divisée en quatre gros carrés formés par des triangles qui forment un dessin comme un « soleil » car ils convergent au centre du gros carré.
5. On passe à la couture. On prend deux des triangles et on les superpose, bon côté contre bon côté.
6. Puis on fait une couture à la machine à 1 cm du bord (la machine indique 10mm) tout le long du grand côté du triangle.
7. Replacer le carré obtenu à la place qu’on lui avait choisi et dans le même sens qu’avant.
8. On recommence l’opération pour les 31 autres groupes de deux triangles.
9. La prochaine étape est de repasser toooooooous les petits carrés. Il faut que les deux bords de la couture soient séparés et aplatis comme sur la photo :
10. Puis, on assemble deux petits carrés. On les place bien sûr bon côté contre bon côté et on coud à 1 cm. Le trait noir sur la photo indique l’emplacement de la couture pour ces deux carrés. On fait la même chose pour tous les autres petits carrés de manière à obtenir des rectangles de 4 triangles.
11. Et on repasse bien les coutures de tous les rectangles.
12. On continue avec la couture. Il s’agit maintenant de coudre deux rectangles ensemble, endroit contre endroit évidemment. Puis on les coud à 1 cm du bord, le bord où les bouts des triangles se rejoignent au milieu.
13. Et on coud de même tous les autres pour obtenir huit carrés moyens :
14. Ensuite, on assemble et on coud à 1 cm du bord les carrés moyens, deux par deux.
On obtient 4 rectangles comme ci-dessous :
15. On repasse bien toutes les coutures sur l’envers.
16. On y est presque ! Superposez deux rectangles, endroit contre endroit. Cousez à 1cm du bord, là où le stylo le montre. Recommencez pour les deux autres rectangles.
17. Repassez le tout.
18. Epingler les deux gros carrés ensemble, bon côté contre bon côté.
19. Coudre à 1 cm du bord sur tout le tour sauf à l’endroit montré par les deux stylo. Commencez par le point du stylo du haut, cousez le tour, puis finissez là où se trouve le stylo du bas. Utilisez des marche-arrières au début et à la fin.
20. Cranter le coussin. Il s’agit de couper les surplus de tissu, notamment dans les coins, sans couper la couture !
21. Retourner le coussin et sortir les coins et les bords à l’aide d’une épingle. Repasser au fur et à mesure qu’on sort les bords.
22. Remplir le coussin avec les sacs en plastique.
23. Epingler l’ouverture.
24. C’est pour cette couture qu’il faut utiliser un fil de la couleur des tissus pour que cela ne se voie pas trop. Attention, cette fois il ne faut pas coudre à 1cm mais à 1mm, tout au bord, en faisant une marche arrière au début et à la fin. Et voilà un confortable petit coussin !
un morceau de tissu si possible épais pour le patch
un morceau de thermocollant double-face de la même taille (vliesofix)
fil
machine à coudre
ciseaux
découd-vite
fer à repasser
Marche à suivre :
Retourner le pantalon et ouvrir le milieu de la couture du côté extérieur.
2. A ce moment-là, on peut commencer par coudre un zigzag par-dessus le trou (bon ok moi je ne l’ai pas fait, mais ça pourrait tenir plus longtemps).
3. Couper un morceau de la forme et de la taille désirée pour masquer le trou (mais pas trop petit).
4. Couper un morceau de vliesofix de la même taille. Attention, ça ne doit pas dépasser la taille du tissu, sinon le thermocollant collerait à la table de repassage.
5. On pose la face brillante (c’est la colle) sur l’envers du tissu et on presse environ 8 secondes avec le fer chaud.
6. On retire la protection.
7. Placez le morceau sur le trou (le côté de la colle sur le dessus du jean) et repassez la zone environ 8 secondes.
8. On passe à la partie couture. Pour faire un point de bourdon, il faut régler la machine sur le point zigzag, puis régler la largeur (environ 4 ou 5) et régler la longueur (0,5 environ). Si c’est la première fois, faire des essais de motifs au point de bourdon dans une chute de tissu.
Commencez dans un coin et bien placer le bord du tissu au milieu du pied-de-biche pendant la couture :
9. Epingler soigneusement l’endroit où le pantalon était cousu auparavant.
10. Recoudre au point droit la couture qui a été défaite (avec marche-arrière ou point d’arrêt au début et à la fin).
11. Recoudre au bord du tissu la couture de surjet qui a été défaite (sélectionner le point de surjet ou overlock sur la machine).
12. Retourner le pantalon !
Et vous, quels patchs originaux avez-vous cousus ?
Quoi de mieux pour échapper à la traditionnelle compréhension orale où il faut toujours répondre par écrit (et qui défavorisent donc ceux qui ont des difficultés à l’écrit alors que c’est un exercice d’oral) ?
Voici la dictée dessinée.
Le principe est simple : le formateur lit la dictée aux apprenants, qui dessinent ce qu’ils entendent sur leur feuille blanche.
Ensuite, les élèves comparent leurs dessins par groupe ou les posent tous sur une table centrale. Le moment où les apprenants craignent de ne pas savoir dessiner passe aux rires joyeux et aux surprises, à la découverte des autres dessins.
On discute ensemble de ce qui correspond à ce qui a été entendu et de ce qui ne correspond pas.
Ci-dessous, la liste des dictées dessinées à télécharger :
Après deux heures de voiture en passant par Berne et Interlaken, on plante la tente sur une petite place, dans un petit camping, dans le petit village de Lungern, au bord du lac du même nom. Le camping Obsee semble être seul dans la région, enfermé entre plusieurs petites montagnes.
Le plus : c’est tranquille et familial.
Le bémol : les commodités sont un ptiiiiii peu loin de l’emplacement des tentes.
On vérifie les vélos, on met les casques, on installe Bibou à l’arrière et c’est parti pour le tour du lac de Lungern (environ 9 km).
La « côte Ouest » est faite de chemins de gravier et la « côte Est » est la route nationale. Des deux côtés,on se sent un peu coincés entre deux montagnes, avec le lac au milieu, mais les couleurs sont à couper le souffle et particulièrement celle du lac.
Le soir, on en profite pour nager du camping jusqu’au radeau.
On teste aussi le parc aquatique monté dans le lac (payant). Très amusant, mais au retour au camping, en passant sur un pont qui enjambe le bout du lac, on voit un poisson mort à la surface de l’eau…
Jour 2
Depuis le même camping, nous partons effectuer le tour du lac de Sarnen. Le trajet est normalement de 18 km, mais depuis le camping, il nous faut d’abord redescendre le lac de Lungern que nous avons longé hier. Puis, le chemin descend pour de bon. Le lac où nous allons se trouve à deux cents mètres en-dessous du précédent.
On s’arrête à Sarnen sur une énorme place de jeux au bord du lac pour Bibou. Les jeux sont originaux : sable partout,circuit d’eau, maisons diverses, parcours. Le paradis des petits.
On reprend la route, côté route. C’est moins charmant. Arrivés à Giswil, on se demande comment on va remonter les deux cents mètres… Vu la descente qu’on a faite, je sais comment sera la montée,c’est-à-dire trop dure. On erre un peu dans la plaine toute plate de Giswil pour trouver une gare. Il y en a une ! Le train nous ramène en 13 minutes à Lungern.
Comme nous arrivons depuis le canton de Vaud, nous laissons la voiture à Riddes, sur un parking gratuit, devant un bâtiment nommé« cinéma » et « fanfare ».
Nous prenons le train à Riddes, jusqu’à Oberwald, surement la partie la plus chère, car il faut payer 4 billets, 2 pour nous et 2 pour les vélos.
Nous changeons à Brig. Le voyage dure en tout environ 2h40. Le paysage change à vue d’œil. Du Valais romand, la vallée devient de plus en plus étroite, les versants de plus en plus raides, le Rhône de moins en moins large. Ici, la nature semble plus difficile à dompter. Puis,les gens dans le train parlent de plus en plus suisse-allemand.
Nous débarquons à Oberwald en ayant l’impression d’être au bout du monde. D’ailleurs, c’est un« cul-de-sac ». Une montagne se dresse devant nous. Il n’y a plus de route et les voyageurs qui veulent aller plus loin doivent prendre l’auto-train.
Nous déposons nos sac-à-dos dans notre chambre de l’hôtel Alpenhof (Oberwald) où nous sommes très bien accueillis et rangeons les vélos dans le garage.
Nous partons explorer les environs, mais rentrons une heure plus tard car un orage s’est approché…
Le souper à l’hôtel fut notre surprise de l’année : un extraordinaire cordon-bleu (on a BIEN entendu comment le cuisiner a tapé dessus pour l’attendrir) fait maison, des frites extra, des légumes ! Eh oui, en Suisse alémanique on reçoit toujours des légumes avec le repas. Jorge,lui, a opté pour des spare ribs, tout aussi délicieux et bien servis.
Jour 2
En route ! L’étape Oberwald-Brig (numéro2) est un gros morceau, mais magnifique et varié.
Elle nous emmène à la campagne dans la vallée, à la montagne, on monte, on descend, on croise un camping, un taureau, un glacier (qui vend des glaces), un glacier (amas de neige sur le chemin), des fontaines (heureusement car il fait trente degrés), une voiture coincée dans la forêt (?!), d’autres voyageurs à vélo. Le Rhône est petit, clair et limpide.
Nous arrivons après plusieurs heures à l’Hotel Touring à Naters, ville collée à Brig. Il fait tellement chaud que nous allons nous rafraichir à la piscine de Naters qui est quelques rues plus loin. Aaaaaaaaah.
J’ai très mal aux jambes, même quand je ne bouge pas.
Je trouve quand même la force d’aller souper à l’extérieur. Le cordon-bleu de hier a donné envie à Jorge, mais alors il en commande un dans le restaurant que nous avons trouvé. Il est déçu, ce n’est vraiment pas pareil.
Jour 3
Malheureusement, mes jambes n’ont pas pu se reposer suffisamment et elles me font toujours souffrir, même couchée ou assise. Jorge continue l’étape Brig-Sierre, moi je prends le train.
Nous nous retrouvons à la gare de Sierre et partons nous poser à l’hôtel Casino. Comme j’ai trop mal, on ne visite pas les environs.
Heureusement, à la réception de l’hôtel, nous prenons un bon de 20% pour aller au cinéma du même nom, qui se trouve dans le même bâtiment.
Jour 4
Mes jambes vont mieux, nous reprenons les vélos pour faire la ligne très droite en direction de Riddes.
Cependant, nous faisons une halte aux Iles de Sion où nous retrouvons Papy et Bibou, qui se rafraichissent dans le lac.
En vrai, l’étape continue jusqu’à Martigny, mais nous,nous reprenons la voiture à Riddes.
Un dernier paragraphe pour ajouter que l’étape Martigny-Montreux est elle aussi magnifique et que en plus, entre Bex et Villeneuve, elle est praticable en famille. Nous l’avions faite avec Bibou sur le siège bébé. La piste cyclable longe la rivière, passe par des chemins piétonniers (attention, promeneurs du dimanche) jusqu’au bord du lac. Ensuite, agréable surprise en visitant Villeneuve. C’est tout mignon !
Décalquer avec un crayon le motif en entier autour du trou de la boite.
2. Décalquer avec un crayon la longue moitié du motif sur les côtés de la boite.
3. Peindre avec la couleur principale(ici violet) partout sauf sur les motifs et laisser sécher.
4. Peindre avec la deuxième couleur(ici argenté) dans les contours des motifs et laisser sécher.
5. Positionner et coller à la colle forte 5 miroirs sur les grands côtés de la boite et 3 miroirs sur les petits côtés.
6. Préparer le nombre de perles dont vous aurez besoin et poser petit à petit des points de colle sur la limite du motif principal et poser les perles dedans.
Via ferrata, Kayak de mer, Kayak de rivière, Hors-bord,Baignade
Je vais parler dans cet article du voyage que nous avons fait en Sardaigne en octobre. Comme j’ai toujours besoin que ce soit bon marché et actif, je prépare les voyages en général moi-même, même si cela prend parfois plus de temps.
Je mets en fin d’article les références du logement et des activités pour les personnes que cela intéresse.
La vidéo en fin d’article reprend tout le voyage et montre à quel point c’est un endroit magnifique.
Nous avons dormi dans une maison d’hôte près d’Alghero, que j’avais choisi pour le prix et la piscine. Malheureusement, la piscine n’était pas en « état de marche », j’aurais râlé, mais comme j’ai été malade je n’aurais de toute façon pas pu me baigner. De plus, pour accéder à cette maison, il faut louer une voiture.
Alghero est une charmante ville au nord-ouest de la Sardaigne qui a été un très bon choix comme point de départ. C’est touristique, mais pas trop, ça reste joli. Le climat est bon et il y a tout ce dont nous avions besoin. Je vous recommande cette partie de la Sardaigne.
J’avais préparé les informations de plusieurs vias ferratas, mais étant donné mes trois jours d’abominable pharyngite et ma promenade dans le labyrinthe du bâtiment des urgences italiennes, nous n’en avons finalement fait que DEUX.
La via ferrata di Giorré, qui se situe à Cargeghe, à 46 minutes d’Alghero. C’est une via ferrata très latérale et très longue, dont nous n’avons fait qu’une partie parce que je n’étais pas encore tout à fait d’attaque pour la faire en entier. Du coup, le retour a été un peu compliqué, on n’avait aucune idée de là où il fallait passer et on s’est retrouvé aux abords d’une ferme gardée par des chiens qui avaient l’air dangereux. On a réussi à passer à côté finalement.
La plus belle via ferrata que nous avons faite jusqu’à aujourd’hui est celle du Capo Caccia, la via ferrata del Cabirol. Elle est aussi assez latérale et à certains endroits il n’y a pas de câble, mais elle donne tout le temps sur la MER. Magnifique !
Le kayak de rivière :
La plus belle surprise du voyage. On charge les kayaks dans la remorque du bus, on monte dans le bus et il nous abandonne en amont de la rivière, tout seuls ! Alors on y va, on pagaie pendant 6 heures,mais c’est l’aventure, on se serait crus dans la jungle. C’était quand même unpeu long sur la fin, mais cela en valait la peine. Voir la vidéo plus bas !
Le kayak de mer :
Petite demi-journée où on a bien usé nos bras. Après avoir pagayé jusqu’à une petite plage avec de l’eau cristalline, le guide nous a prêté des masques « aliens » qu’on ne connaissait pas encore et qui permettent presque de respirer sous l’eau, car l’eau n’entre pas dans letuba. Alors baignade et snorkeling. Et ensuite, retour au point de départ.
Le hors-bord : quand j’étais en train d’agoniser dans mon lit, Jorge et Tom ont loué un hors-bord, se sont baignés et ont fait des magnifiques prises de vue (voir vidéo), et notamment le moment où une de leurs casquettes s’envole mais qu’ils réussissent à rattraper.
Voilà une petite semaine bien remplie qui s’est terminée par une journée et une nuit à Santa Teresa di Gallura, qui est la ville la plus au Nord de la Sardaigne et que je n’ai pas trouvé intéressante.Elle est grande, chère, pas spécialement belle et c’est simplement un port important, puisque c’est la principale liaison avec la Corse.
Pour ceux qui ont reconnu la musique, c’est les Backstreet boys, qui sont en concert à Zurich en 2019. Le billet coute 200francs, alors moi je les garde pour un vrai voyage !
Références pour les futurs voyageurs :
Logement (Alghero): B&B Castiglias,attention il n’y pas de wifi dans ce logement.
Kayak de mer : je pense qu’il s’agissaitde Sea Kayak Sardinia et si je me souviens bien, le guide était américain.
Kayak sur la rivière : http://www.newkayaksardinia.com